Lou Depryck: un électron libre à Pattaya

Tout confondu, il estime avoir vendu entre 14 et 18 millions de disques dans toute sa carrière. Plus que son grand ami Arno, un autre Belge un peu déjanté. Très éclectique, énigmatique et donc difficile à classer, il pense que la postérité ne retiendra de lui que 2 ou 3 chansons et que le reste, c'est… folklorique.


Son tout premier contact avec la Thaïlande remonte à 1977. Il venait de mettre en orbite son tube planétaire (sic) «Ca plane pour moi». Fort de ses royalties, il a débarqué en vacances à Pattaya. Ce fut le coup de foudre pour le pays et les gens. Il y reviendra de temps à autres, entre tournées et enregistrements dans le monde entier. Mais en 1996, il fait une chute de 6 mètres dans un hôtel de La Havane et se brise les deux jambes. Il est rapatrié sanitaire en Belgique.

Au bout d'un an de rééducation, les médecins lui conseillent d'aller vivre sous les tropiques où le climat est plus favorable pour l'arthrite. Il envisage d'abord le Brésil, avec lequel il a de fortes attaches musicales, mais il apprend qu'une de ses connaissances, directeur d'une firme de disques, vient se faire attaquer au couteau à Copacabana par des voleurs...

Un de ses amis résidant à Naklua (excroissance pattayenne) l'invite pour quelques temps. Il finit par acheter une maison et s'installe, tout en gardant contact avec son Hainaut natal. Depuis, il vit en moyenne tous les ans entre 9 et 10 mois en Thaïlande, retournant en Europe pour des tournées de chant avec le Two Man Sound (Charlie Brown, Disco Samba…) ou les Hollywood Bananas (Kingston Kingston, Les petites rues de Singapour…). Universal Music s'occupe de la gestion de son catalogue de chansons. Sa fille est en charge de son édition musicale en Belgique, c'est une affaire qui marche.

Mais comme il a produit 450 disques jusqu'à présent (surtout pour d'autres artistes), il est toujours curieux de ce qui se passe autour de lui. Il s'est donc naturellement intéressé à la musique thaïlandaise et a même sorti une chanson qui s'appelle Pattaya-Pattaya, devenu rapidement numéro 1 en Thaïlande. C'est un morceau qu'il avait composé en Jamaïque, un ska à l'origine, qu'il a superbement adapté avec des musiciens thaïlandais, un savoureux mélange de genres. Il en a importé 1000 exemplaires de Belgique et il doit y en avoir maintenant entre 100 et 200 000 en circulation, piratés bien sûr. Ce sont surtout les Thaïlandais qui achètent ce disque, plus que les étrangers, et c'est pour lui une preuve d'authenticité et de reconnaissance. On l'entend dans tout le royaume de Siam, et même jusqu'au bar le Martini de Phnom Penh où ils le passent au moins toutes les heures ouvrables… il ne touche évidemment aucun droit d'auteur mais se dit honoré d'être ainsi pillé. 

«Un autre de mes titres de gloire, aime-t-il signaler, c'est que le célèbre chanteur Carabao a repris une de mes chansons!». Il l'a même annoncé le 20 décembre dernier, lors d'un méga-concert, devant 60 000 personnes à Chiangmai et au niveau national devant les caméras de télévisions. Pour ceux qui ne connaîtraient pas, Carabao est une légende vivante, une sorte de Johnny Hallyday siamois qui roule en Harley et fume des pétards. Il est arrivé sur scène en disant: «Voici maintenant, "Pai yoo Krungthep" (Va-t-en à Bangkok!), de mon ami farang Lou». Un bel hommage.

Parallèlement, il a découvert le Cambodge voisin et, au cours de fréquents allers-retours, s'y est fait beaucoup d'amis au sein de la communauté francophone qu'il trouve beaucoup plus affirmée qu'en Thaïlande. Et puis la tradition française au quotidien y est encore assez préservée, c'est ce qui le séduit le plus.

Car si son père est flamand, le français est sa langue maternelle. Comme il le dit avec un brin de malice: «Je suis un chti, originaire de la Wallonie, entre Lille et Tournai, je parle picard et un dialecte néerlandais avec mon papa, je cause aussi le bruxellois. Si un Belge vous dit qu'il cherche une chapelle, ne l'envoyez pas à l'église, montrez-lui simplement le bistrot du coin!».

Dans sa quête d'idées nouvelles, il va aussi de temps en temps aux Philippines, pour enrichir son inspiration. Lorsqu'il est à Pattaya, il chante quelques morceaux (dont sa version thaïe de 'Ca plane pour moi' au Lucifer, le vendredi soir, pour maintenir le contact avec la scène locale et apprendre toujours plus sur le métier. Vraie voix de Plastic Bertrand, arrangeur pour Marvin Gaye (Sexual healing) et producteur de Viktor Lazlo (Canoë rose, Pleurer des rivières…), il recherche maintenant une chanteuse thaïlandaise dont il pourrait révéler le talent.

          Tout cela, il le raconte aussi en détails dans son autobiographie «Ca plane pour moi», préfacée par le grand Boris Bergman et parue en 2008 chez BMR Editions (Belgique), un tel succès en librairie qu'une réédition en France est prévue en juin prochain. C'est dire!

Raymond Vergé

PAROLES DE ''CA PLANE POUR MOI'':

Wam! Bam! Mon chat, splatch Gît sur mon lit A bouffé sa langue En buvant dans mon whisky Quant à moi Peu dormi, vidé, brimé J'ai dû dormir dans la gouttière Où j'ai eu un flash Hou! Hou! Hou! Hou! En quatre couleurs

Allez hop! Un matin Une louloute est v'nue chez-moi Poupée de Cellophane Cheveux chinois Un sparadrap Une gueule de bois A bu ma bière Dans un grand verre En caoutchouc Hou! Hou! Hou! Hou! Comme un indien dans son igloo

Ça plane pour moi Ça plane pour moi Ça plane pour moi moi moi moi moi Ça plane pour moi Hou! Hou! Hou! Hou! Ça plane pour moi

Allez hop! La nana Quel panard! Quelle vibration! De s'envoyer Sur le paillasson Limée, ruinée, vidée, comblée "You are the King of the divan" Qu'elle me dit en passant Hou! Hou! Hou! Hou! I am the King of the divan

Allez hop! T'occupe T'inquiète Touche pas ma planète It's not to day Quel le ciel me tombera sur la tête Et que l'alcool me manquera Hou! Hou! Hou! Hou! Ça plane pour moi

Allez hop! Ma nana S'est tirée S'est barrée Enfin c'est marre, a tout cassé L'évier, le bar me laissant seul Comme un grand connard Hou! Hou! Hou! Hou! Le pied dans le plat...

 

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"Ca plane pour moi":

c'est l'auteur-compositeur Lou Deprijk qui l'a chanté,

et non pas Plastic Bertrand

BRUXELLES (AFP) - 26 juillet 2010

Le producteur et compositeur belge du tube de 1977 "Ca plane pour moi" a affirmé lundi qu'il avait été reconnu par la justice qu'il en était aussi en fait l'interprète, Plastic Bertrand n'ayant fait que le "chanter" en play back, a rapporté la chaîne de télévision RTL-TVI.

 

Le chanteur belge Plastic Bertrand, de son vrai nom Roger Jouret, est photographié le 28 décembre 1979, à Paris. AFP/Archives

 

Se fondant sur un rapport d'experts demandé par un tribunal, Lou Deprijk a assuré que ce document mettait un terme à la bataille judiciaire qui l'opposait à Plastic Bertrand depuis 2006 au sujet d'un titre qui s'est vendu à plus de huit millions d'exemplaires.

Les experts ont analysé deux enregistrements de la voix de Lou Deprijk, en 1977 puis en 2006, a indiqué ce dernier dans une interview au quotidien La Dernière Heure, qui a eu la primeur de l'information.

 

 

Le rapport, a ajouté M. Deprijk, "révèle qu'avec les terminaisons de phrases relevés sur les bandes, on ne peut attribuer la voix qu'à un ch'ti ou un picard".

C'est-à-dire non pas à Plastic Bertrand, mais à quelqu'un originaire comme M. Deprijk de la région du sud de la Belgique où le dialecte picard est parlé, avec ses intonations particulières, que l'on rencontre aussi de l'autre côté de la frontière, dans le Nord de la France.

Interrogé par RTL-TVI, Plastic Bertrand a d'abord plaisanté sur ce thème, en lançant: "Tout ce que le rapport dit, c'est que c'est quelqu'un qui a l'accent ch'ti ou picard qui l'a chanté. Alors c'est Dany Boon (humoriste français né dans le Nord ndlr)".

Il a ensuite rappelé que "par deux fois le tribunal d'appel de Bruxelles" l'avait reconnu comme l'interprète légal de la chanson et que c'"était un jugement que l'on ne peut pas casser".

Il a déploré cette volonté apparente de son ancien associé de vouloir "plus d'argent". Ce que M. Deprijk, toujours sur RTL-TVI, a démenti, assurant que tout ce qui l'intéressait c'était que l'on sache que le vrai chanteur c'était lui.

M. Deprijk, dans l'interview à La Dernière Heure, a même affirmé qu'il avait été en réalité l'interprète des quatre premiers albums de Plastic Bertrand, en accord avec la maison de disque Vogue France.

"Plastic a fait, à l'époque, des essais de voix, mais ça ne donnait rien... Il a une voix entre Michou et Hervé Vilard", a-t-il asséné. © 2010 AFP

 

 

Plastic Bertrand, le 21 juin 2003 sur le parvis de la Défense à Paris, lors d'un concert sur le thème des années 80.

 

 

 

Plastic Bertrand admet ne pas avoir chanté mais se présente en victime

BRUXELLES (AFP)-28/07/10

 

 L'artiste belge Plastic Bertrand a reconnu mercredi qu'il n'avait pas chanté le tube de 1977 "Ca plane pour moi", ni ses quatre premiers albums, tout en se dépeignant comme une victime instrumentalisée par leur véritable interprète, Lou Deprijk.

 

"Moi je veux bien dire que ce n'était pas ma voix, mais il faut alors aussi dire que tout cela a été monté de toutes pièces par Lou Deprijk", a-t-il déclaré au journal Le Soir.

M. Deprijk, qui avait produit et composé la célèbre chanson, "m'a demandé de fermer ma gueule en échange de 0,5% des droits, en me promettant qu'il ferait avec ma voix une nouvelle version. Ce qu'il n'a jamais fait bien sûr", a assuré Plastic Bertrand.

Interrogé sur ses quatre premiers albums - publiés de 1977 à 1981 et que M. Deprijk affirme avoir également interprétés alors que Plastic Bertrand se contentait d'apporter son image en play back - le chanteur a lancé: "Mais c'est moi la victime. Je voulais chanter, mais il m'interdisait l'accès au studio".

Affirmant en avoir "marre" de tout le bruit autour de cette affaire, Plastic Bertrand a menacé d'"attaquer à nouveau Lou Deprijk en diffamation", bien qu'il ait déjà perdu un premier procès de ce genre en France, parce qu'il avait traité d'"escroc" son ancien associé.

L'avocat de Lou Deprijk s'est félicité de son côté que Plastic Bertrand reconnaisse enfin définitivement ne pas être l'interprète de "Ca plane pour moi!"."Il était temps qu'il cesse de prétendre le contraire", a dit Me Alexis Ewbank à l'AFP.Il s'est par ailleurs inscrit en faux contre la prétention de Plastic Bertrand d'être au moins reconnu comme "l'interprète légal" de "Ça plane pour moi!", en invoquant un jugement de la cour d'appel de Bruxelles remontant à juin 2006.
Le juge ne se prononçait pas à l'époque sur ce point précis, mais se bornait à noter que c'était le nom de Plastic Bertrand qui apparaissait sur les pochettes de disque, a indiqué Me Ewbank. "Lou Deprijk est le seul interprète légal", a-t-il affirmé. Il a rappelé qu'un expert de la voix venait de confirmer dans un rapport au tribunal de première instance de Bruxelles que c'était bien son client qui avait interprété les bandes originales de 1977.
Cette juridiction était saisie d'un différend entre M. Deprijk et la maison de disque AMC, qui détient les droits sur ces bandes. Me Ewbank a affirmé ne pas croire à la menace de procès en diffamation brandie par Plastic Bertrand, et précisé que son client n'avait pas non plus l'intention d'attaquer ce dernier en justice. L'avocat a par ailleurs "confirmé que contrairement à ce que beaucoup de médias et sites internet colportent, le single en anglais d'Elton Motello -pseudonyme de Alan Ward- "Jet boy, jet girl", avec la même mélodie de "Ça plane pour moi!", est bien sorti plusieurs mois après celui de Plastic Bertrand". Et que "c'est bien évidemment Lou Deprijk qui a composé et qui est crédité dans les sociétés de droits d'auteur comme le compositeur des versions dans les deux langues".

Plastic Bertrand ne plane plus

Plastic Bertrand n'est donc pas le véritable interprète du tube « ça plane pour moi », sorti en 1977 et indémodable depuis. Cette « révélation », depuis longtemps un secret de polichinelle, cache en fait une bagarre financière autour des juteux droits d'auteurs et dérivés.

La bataille a éclaté lorsque Lou Deprijk, son compositeur belge, a affirmé dans une interview lundi au quotidien belge « La dernière Heure », qu'il en était aussi l'interprète. » Plastic Bertrand n'ayant fait que le « chanter » en play-back. Ce qui a été définitivement prouvé par une expertise demandée par le tribunal.

M. Deprijk, a précisé que « Plastic a fait à l'époque des essais de voix, mais ça ne donnait rien ». Plastic Bertrand ne le nie pas mais il reste juridiquement l'artiste- interprète du titre par décision d'un tribunal bruxellois en 2006.

Aucune procédure judiciaire n'oppose d'ailleurs les deux hommes.

Mais aujourd'hui, la maison de disque AMC, propriétaire des bandes, reproche à M. Deprijk d'avoir produit et interprété en 2006 une version à l'identique du fameux titre.

© 2010 AFP

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Plastic Bertrand nie avoir avoué qu'il ne chantait pas "Ca plane pour moi" PARIS (AFP) - 29.07.2010

 L'artiste belge Plastic Bertrand a nié jeudi avoir avoué qu'il n'était pas l'interprète du tube de 1977 "Ca plane pour moi" et annoncé qu'il envisageait de porter plainte dans cette affaire.


Plastic Bertrand, le 21 juin 2003 sur le parvis de la Défense à Paris, lors d'un concert sur le thème des années 80.

 

AFP/Archives - Stephane de Sakutin

 

Le journal belge Le Soir avait rapporté mercredi que le chanteur avait concédé lors d'une interview qu'il n'avait pas chanté ce titre, ni ses quatre premiers albums.

"Au bout de trois jours d'interviews, je lui ai dit (au journaliste du Soir): "Je t'avoue tout ce que tu veux mais qu'on me foute la paix", sur le ton de l'ironie", a affirmé Plastic Bertrand à la radio Europe 1.

"C'est une phrase faite en "off" avec de l'humour", a-t-il ajouté, soulignant qu'il n'avait "pas changé d'un iota" sa version des faits.

En outre, le chanteur belge, qui s'est dit "écoeuré", a prévenu qu'il envisageait de donner une suite judiciaire à cette affaire.

"Bien sûr que je vais porter plainte", a-t-il révélé, sans toutefois dévoiler quel serait le motif de son action. "C'est mon avocat qui choisira".

Interrogé sur l'expertise demandée par un tribunal belge, Plastic Bertrand a contesté qu'elle attribue l'interprétation de "Ca plane pour moi" à son producteur de l'époque, Lou Deprijk, comme ce dernier le soutient.

Le rapport "ne dit jamais que c'est Lou Deprijk qui chante", s'est agacé l'artiste belge, martelant que l'expertise faisait seulement valoir que c'était un Ch'ti ou un Picard qui chantait.

© 2010 AFP

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Lou, introducing... Jean-Claude Vandamme!


Lou avec quelques uns de ses trophées/disques d'or


Présentation à la presse du livre "Ca plane pour moi"




C'est l'heure de l'apéro


In vino veritas...


Le porche de la maison (Pattaya-Jomtien Nivate)


Dans le hall d'entrée: visions d'Asie!


Sous la véranda...


Au restaurant [italien] voisin...
LOU DEPRYCK AU LUCIFER/WALKING STREET/PATTAYA 26-12-08 001
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Youtube Videos


Boum-Boum Tirak (chérie)  de Lou Depryck à Pattaya
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JUILLET 2011:

Lou Depryck a ouvert une friterie (frikot pour les belges) à Jomtien

Lou Deprijck ouvre une friterie belge à Pattaya
Friterie Belge Fritkot bij Lou (cliquer sur les liens)

Plastic Bertrand admet ne pas avoir chanté mais se présente en victime

BRUXELLES (AFP) - 28.07.2010 13:12

 L'artiste belge Plastic Bertrand a reconnu mercredi qu'il n'avait pas chanté le tube de 1977 "Ca plane pour moi", ni ses quatre premiers albums, tout en se dépeignant comme une victime instrumentalisée par leur véritable interprète, Lou Deprijk.

voir_le_zoom : Plastic Bertrand, le 21 juin 2003 sur le parvis de la Défense à Paris, lors d'un concert sur le thème des années 80Plastic Bertrand, le 21 juin 2003 sur le parvis de la Défense à Paris, lors d'un concert sur le thème des années 80

"Moi je veux bien dire que ce n'était pas ma voix, mais il faut alors aussi dire que tout cela a été monté de toutes pièces par Lou Deprijk", a-t-il déclaré au journal Le Soir.

M. Deprijk, qui avait produit et composé la célèbre chanson, "m'a demandé de fermer ma gueule en échange de 0,5% des droits, en me promettant qu'il ferait avec ma voix une nouvelle version. Ce qu'il n'a jamais fait bien sûr", a assuré Plastic Bertrand.

Interrogé sur ses quatre premiers albums - publiés de 1977 à 1981 et que M. Deprijk affirme avoir également interprétés alors que Plastic Bertrand se contentait d'apporter son image en play back - le chanteur a lancé: "Mais c'est moi la victime. Je voulais chanter, mais il m'interdisait l'accès au studio".

Affirmant en avoir "marre" de tout le bruit autour de cette affaire, Plastic Bertrand a menacé d'"attaquer à nouveau Lou Deprijk en diffamation", bien qu'il ait déjà perdu un premier procès de ce genre en France, parce qu'il avait traité d'"escroc" son ancien associé.

L'avocat de Lou Deprijk s'est félicité de son côté que Plastic Bertrand reconnaisse enfin définitivement ne pas être l'interprète de "Ca plane pour moi!".

"Il était temps qu'il cesse de prétendre le contraire", a dit Me Alexis Ewbank à l'AFP.

© 2010 AFP



02/05/2009
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